|   | L'imbécile que, donc, je suis de Maurizio Ferraris, Catherine Portevin In Philosophie magazine, 113 (10/2017), p.72-77 Entretien avec le philosophe Maurizio Ferraris, fondateur du laboratoire d'ontologie à l'université de Turin : sa relation avec Jacques Derrida ; son parcours philosophique, de l'adhésion aux idées des post-structuralistes français (Foucault, Deleuze et Derrida) à la création d'une "ontologie sociale" où le téléphone portable devient un objet d'étude philosophique. Sa conception d'un nouveau réalisme. Sa définition de l'imbécillité. | 
							Ferraris Maurizio, Portevin Catherine. 
« L'imbécile que, donc, je suis »
 in Philosophie magazine, 113 (10/2017), p.72-77.
							
						
			
			| Titre : | L'imbécile que, donc, je suis (2017) | 
| Auteurs : | Maurizio Ferraris, Personne interviewée ; Catherine Portevin, Intervieweur | 
| Type de document : | Article : texte imprimé | 
| Dans : | Philosophie magazine (113, 10/2017) | 
| Article : | p.72-77 | 
| Note générale : | Bibliographie. | 
| Langues: | Français | 
| Descripteurs : | philosophe / réel | 
| Résumé : | Entretien avec le philosophe Maurizio Ferraris, fondateur du laboratoire d'ontologie à l'université de Turin : sa relation avec Jacques Derrida ; son parcours philosophique, de l'adhésion aux idées des post-structuralistes français (Foucault, Deleuze et Derrida) à la création d'une "ontologie sociale" où le téléphone portable devient un objet d'étude philosophique. Sa conception d'un nouveau réalisme. Sa définition de l'imbécillité. | 
| Nature du document : | documentaire | 
| Genre : | Article de périodique/Entretien, interview | 

