En France, le ghetto parle au ghetto
de Thomas Blondeau In Manière de voir, 111 (juin 2010), p.77-81 Depuis la fin des années 1990, les ventes de disques de rap sont effectuées quasi exclusivement par des petits labels indépendants et non par les grands distributeurs. Les retombées économiques pour les chanteurs sont avantageuses, les circuits de distribution rapides et nombreux. Les chanteurs de rap (comme LIM), issus souvent de la banlieue qui les inspire, y restent pour vivre et composer. |
Blondeau Thomas.
« En France, le ghetto parle au ghetto »
in Manière de voir, 111 (juin 2010), p.77-81.
Titre : | En France, le ghetto parle au ghetto (2010) |
Auteurs : | Thomas Blondeau, Auteur |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Manière de voir (111, juin 2010) |
Article : | p.77-81 |
Langues: | Français |
Descripteurs : | 1990- / France / industrie du spectacle / rap : musique |
Résumé : | Depuis la fin des années 1990, les ventes de disques de rap sont effectuées quasi exclusivement par des petits labels indépendants et non par les grands distributeurs. Les retombées économiques pour les chanteurs sont avantageuses, les circuits de distribution rapides et nombreux. Les chanteurs de rap (comme LIM), issus souvent de la banlieue qui les inspire, y restent pour vivre et composer. |
Nature du document : | documentaire |
Genre : | Article de périodique |